Emmanuel Bove
1898-1945
Emmanuel Bove, écrivain français, très connu entre 1925 et 1945, souvent réédité, même si peu lu actuellement, sauf par quelques passionnés, décrit un monde gris de victimes d’une société vulgaire et méchante présente dans toutes les classes sociales. Il est de la famille des grands écrivains solitaires, tragiques et comiques, tels Henry de Montherlant, Paul Gadenne, Franz Kafka, Thomas Bernhard.
« Bove est le type même de l'auteur solitaire. Il n'est récupérable par aucune faction et ne vaut que par l'originalité de son écriture. Tout ce qu'on peut en dire renvoie inexorablement à ses textes ». (Raymond Cousse, Le Magazine Littéraire 1983)
Emmanuel Bove et son chien
Voici la description par Bove, d’un homme marié qui a décidé de quitter sa famille et son métier d’avocat et de vivre dans un quartier déshérité de Paris :
« Il y avait un peu plus d’un an que Charles Benesteau s’était séparé de sa femme, de ses enfants, qu’il n’avait plus reparu au Palais, qu’il avait rompu avec sa famille, sa belle-famille, ses amis, qu’il avait quitté son appartement du boulevard de Clichy.
Que s’était-il passé ?
Lorsqu’un homme vit entouré de l’affection des siens, de l’estime de ses confrères, un changement d’existence aussi complet est à première vue incompréhensible. Aussi le lecteur nous pardonnera-t-il de nous attarder sur le passé et le caractère de Charles.
C’avait été en 1927 seulement que les faits et gestes de Charles avaient commencé à surprendre la famille Benesteau, le père surtout. Charles était devenu sombre, susceptible, coléreux. On avait d’abord pensé à une conséquence tardive de la guerre, puis à une maladie. En 1928, il fut décidé qu’il partirait avec sa femme pour le Midi. Mais à son retour, il n’y eut rien de changé. Au contraire, son état avait empiré. Il continuait cependant à se rendre régulièrement à ses occupations, à recevoir, à s’intéresser à tout ce qui touchait son milieu, mais il le faisait comme un homme qui a son secret, avec un air distrait, lointain, triste, un air qui ressemblait étrangement à celui que nous lui avons vu tout à l’heure, quand il s’était arrêté pour suivre les jeux de quelques enfants. Quand on lui posait une question, il ne répondait pas, ou bien il haussait les épaules. Après les vacances de Pâques, il ne retourna plus au Palais. On ne tarda pas à s’en apercevoir. Ce fut un prétexte à un conseil de famille. On l’interrogea, on se fit si persuasif qu’il consentit finalement à parler. Il trouvait le monde méchant. Personne n’était capable d’un mouvement de générosité. Il ne voyait autour de lui que des gens agissant comme s’ils devaient vivre éternellement, injustes, avares, flattant ceux qui pouvaient les servir, ignorant les autres. Il se demandait si vraiment, dans ces conditions, la vie valait la peine d’être vécue et si le bonheur n’était pas plutôt la solitude que ces misérables efforts qu’il fallait faire pour tromper son entourage. Ce langage fit le plus mauvais effet sur sa famille. Tout le monde se regarda avec surprise et inquiétude. Ces opinions dans la bouche de Charles semblaient aussi déplacées que dans celle d’un enfant. On lui fit remarquer qu’il n’avait pas le droit de parler comme il le faisait, qu’il fallait laisser cela aux malheureux. Quand on avait eu la chance d’avoir un père comme le sien, une femme comme la sienne, des frères comme les siens, on devait s’estimer heureux et tout faire pour rester digne d’eux. (…)
Dès le matin, il quittait son domicile pour aller se promener on ne savait où. Souvent, il ne rentrait même pas déjeuner. Le soir, il s’enfermait dans son cabinet et lorsque sa femme frappait à la porte, il lui parlait sans la laisser entrer. En janvier 1930, des difficultés s’élevèrent au sujet de l’héritage. De plus en plus inquiets, les frères et sœurs s’étaient réunis plusieurs fois. D’un commun accord, ils avaient estimé qu’il serait imprudent de remettre à Charles, tant qu’il n’aurait pas retrouvé la santé, la part qui lui revenait. On l’en avisa avec tous les ménagements possibles. Il s’emporta. On feignit de céder mais, le lendemain, on alla consulter un notaire sur le moyen d’empêcher Charles de dilapider sa part du patrimoine. Il en eut vent. De ce jour, il s’assombrit encore. Sa femme elle-même ne pouvait plus l’approcher. La manœuvre des siens avait accru son amertume. Que penser d’un monde où votre propre famille, vos propres frères cherchent à vous nuire ? Il écrivit une lettre de huit pages à son frère – il avait un peu la manie d’écrire – pour lui dire qu’il renonçait à la succession, qu’il n’était rien qui lui fît plus horreur que les discussions d’argent. Sa femme lui fit observer qu’il n’était pas seul, qu’il fallait qu’il songeât à ses enfants et à elle-même. Il lui répondit que les Rivoire étaient assez riches pour qu’elle n’eût rien à craindre dans l’avenir. Il la pria de ne plus jamais lui parler de cet héritage. Elle se mit en colère. Il la regarda avec pitié et lui dit ces deux mots d’une vois sifflante, de manière à leur donner un sens profond : « Toi aussi ! » En mai de la même année, il allait habiter une petite pension de la rue de Fleurus. Six semaines plus tard, après toutes les sommations, sa femme demandait le divorce ».
(Extrait de : Le Pressentiment, par Emmanuel Bove, Editions Le Castor astral et Signatures Points, 2009, p.18 à 21). Site officiel sur Emmanuel Bove : http://www.emmanuel-bove.net/
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Honneurs aux pères et aux mères, par la baronne de Staël :
Honneur donc aux pères et aux mères, honneur à eux, honneur et respect, ne fût-ce que pour leur
règne passé, pour ce temps dont ils ont été seuls maîtres et qui ne reviendra plus; ne fût-ce que pour ces années à jamais perdues, et dont ils portent sur le front l'auguste empreinte.
« Voilà votre devoir, enfants présomptueux, et qui paraissez impatients de courir seuls la route de la vie. Ils s'en iront, vous n'en pouvez douter, ces parents qui tardent à vous
faire place ; ce père dont les discours ont encore une teinte de sévérité qui vous blesse: cette mère dont le vieil âge vous impose des soins qui vous importunent: ils s'en iront, ces
surveillants attentifs de votre enfance, et ces protecteurs animés de votre jeunesse; ils s'en iront, et vous chercherez en vain de meilleurs amis; ils s'en iront, et dès qu'ils ne seront plus,
ils se présenteront à vous sous un nouvel aspect; car le temps, qui vieillit les gens présents à notre vue, les rajeunit pour nous quand la mort les a fait disparaître; le temps leur prête alors
un éclat qui nous était inconnu: nous les voyons dans le tableau de l'éternité où il n'y a plus d'âge, comme il n'y a plus de graduation; et s'ils avaient laissé sur la terre un souvenir de leurs
vertus, nous les ornerions en imagination d'un rayon céleste, nous les suivrions de nos regards dans le séjour des élus, nous les contemplerions dans ces demeures de gloire et de félicité; et,
près des vives couleurs dont nous composerions leur sainte auréole, nous nous trouverions effacés au milieu même de nos beaux jours, au milieu des triomphes dont nous sommes le plus
éblouis».
(Mme de Staël, Corinne ou l’Italie)
(1766-1817)
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Une vision de l’enseignement, par Thomas Bernhard :
Voici des textes de Thomas Bernhard (1931-1989) adversaire des méthodes de l’enseignement en général :
Seuls des gens stupides ou des malades aussi bien que des gens à la fois stupides et malades sont
professeurs de lycée car ce qu'ils enseignent quotidiennement et déversent sur les têtes de leurs victimes n'est en vérité rien d'autre que de la stupidité et de la maladie, une matière qui a
pourri au cours des siècles, une matière considérée comme maladie de l'esprit, dans laquelle la pensée de chacun des élèves doit nécessairement s'asphyxier. Dans les écoles, avant tout
dans les écoles d'enseignement secondaire en tant qu'écoles moyennes, intermédiaires entre le primaire et le supérieur, le savoir inutile et pourri dont on a bourré sans relâche ces élèves
transforme la nature de l'élève en une nature dénaturée et lorsque nous avons affaire à des élèves de ce qu'on appelle les écoles d'enseignement secondaire, donc des écoles moyennes, nous
n'avons plus affaire qu'à des êtres dénaturés dont la nature a été anéantie dans ces écoles qu'on appelle écoles d'enseignement secondaire en tant qu'écoles moyennes.
(L'origine, Thomas Bernhard, trad. Albert Kohn, p.138, Folio n°2832)
L’école un établissement pour anéantir l'esprit.
(L'origine, Thomas Bernhard, trad. Albert Kohn, p.120, Folio n°2832)
Les professeurs abîment les élèves, voilà la vérité, depuis des siècles c'est un fait.
(Maîtres anciens, Thomas Bernhard, trad. Gilberte Lambrichs, p.43, Folio n°2276)
Notre système d'enseignement est tombé malade au cours des siècles, les jeunes
gens qu'on fait entrer de force dans ce système d'enseignement sont condamnés par la maladie de ce système et tombent malades par millions sans qu'on puisse envisager de guérison. Il faut que la
société change son système d'enseignement si elle veut changer parce que, si elle ne change pas, ne se restreint pas, si elle ne se supprime pas en grande partie, elle est assurée de toucher
bientôt à sa fin.
(L'origine, Thomas Bernhard, trad. Albert Kohn, p.140, Folio n°2832)
Les professeurs ont toujours été, dans l'ensemble, les empêcheurs de vivre et d'exister,
au lieu d'apprendre la vie aux jeunes gens, de leur déchiffrer la vie, de faire en sorte que la vie soit pour eux une richesse en vérité inépuisable de leur propre nature, ils la leur tuent, ils
font tout pour la tuer en eux. La plupart de nos professeurs sont des créatures minables, qui semblent s'être donné pour tâche de barricader la vie de leurs élèves et de la transformer,
finalement et définitivement, en une épouvantable déprime.
(Maîtres anciens, Thomas Bernhard, trad. Gilberte Lambrichs, p.45, Folio n°2276)
À moi aussi, mes professeurs n'ont rien donné d'autre que leur incapacité, me
dis-je. À moi aussi ils n'ont rien enseigné d'autre que le chaos. En moi aussi ils ont détruit pour des dizaines d'années avec la plus grande brutalité tout ce qu'il y avait originellement en moi
pour me développer, avec toutes les possibilités de mon intelligence, dans un univers qui était le mien.
(Maîtres anciens, Thomas Bernhard, trad. Gilberte Lambrichs, p.46, Folio n°2276).
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Sur Dieu puissance infinie et le Mal :
Dieu, Puissance infinie, accepte que le Mal habite la Terre.
Pourquoi autorise-t-il le Mal avec ses conséquences désastreuses ?
S’il l’autorise, c’est qu’il l’accepte, car son infinie puissance peut pulvériser le Mal en un éclair et répandre sur notre planète la paix, l’amour, et la fin de la misère. Tout le monde s’aimera, plus personne ne se dévorera, les animaux mangeront de la paille. Plus de chasse, plus de meurtres, c’est le paradis.
Mais, en attendant, ce n’est pas le Paradis !
Pourquoi ?
1°) Dieu a-t-il une raison (divine) qui nous échappe, à nous humains, et que nous ne pouvons pas comprendre ? Nous ne connaissons pas le mode d’emploi de la Volonté divine. Nous pensons que Dieu est infiniment bon.
Or cette infinie Bonté accepte le massacre de petits enfants par d’autres êtres humains que Dieu a créés, ainsi que la dévoration des animaux entre eux et par les humains qui s’en nourrissent.
Des flots de sang, des amoncellements de cadavres nuit et jour.
Si Dieu voit tout et sait tout, il est le témoin de la mort de ses créatures décimées par le Mal, dans les détails les plus infimes et jusqu’au dernier battement de cœur. Dieu ne peut pas se détourner des camps de concentration ni refuser d’entendre les hurlements, s’il est infiniment bon.
2°) Si Dieu permet le Mal et ses conséquences sur notre planète, sur les êtres qu’Il a lui-même créés, c’est qu’il ne veut pas que le Mal disparaisse. Il ne l’efface pas. Il observe et Il ne l’annule pas. Et il est Bonté et Puissance infinies ! En créant l’univers, Il a laissé un espace pour ses créatures, pour sa création. Dans cet univers connaissable pour nous (limité à notre planète, aux humains, aux animaux et aux plantes), on constate que le Mal est présent.
J’en conclus que si le Mal est absent, il ne resterait que le Bien. Or une création totalement dans le Bien ne se distingue pas de Dieu, puisque Dieu seul est bon. Il faut donc que les créatures ne soient pas Dieu, pour être libres et distinctes de Lui. Donc ces créatures libres ne seront jamais totalement bonnes vu qu’elles ne sont pas Dieu (qui seul est bon). Nous sommes obligés, en conséquence, d’évoluer dans un univers où le bon est mélangé au mal puisque nous existons et que nous ne sommes pas Dieu.
3°) Pourtant la création, telle que nous la connaissons, baignant dans le Mal et le Bien, n’est pas indépendante de Dieu, vu que sans Dieu, il n’y a pas de création, pas de créatures, ni humaines, ni animaux, ni plantes.
Dieu a donc permis que la création qui dépend de Lui, se meuve dans le Mal selon ses propres lois de création établies par Lui. Mais la création, pas encore devenue Dieu, pas encore en Dieu, dépend de Dieu, de ses Lois. « Mon Royaume n’est pas de ce monde ». La création est donc un espace voulu par Dieu dans lequel il ne se montre pas, où il limiterait sa puissance infinie.
« Que votre Règne vienne », dit la prière. Ce que certains désignent comme le Démon est-il la conséquence de cette limite que Dieu s’est permise dans sa Puissance infinie ? Limite et durée temporaires ?
4°) Toutes les créatures sont des enfants de Dieu, ont une vie propre; elles sont libres de s’éloigner de Dieu. Elles sont plongées dans le Bien et le Mal, choisissent l’un ou l’autre, de passer de l’un à l’autre, de se fixer dans l’un ou l’autre pour leur bonheur ou leur malheur.
Dans quelle mesure, ces créatures libres le sont-elles totalement vu qu’elles proviennent de Dieu ? « Ne nous laissez pas succomber à la tentation ». Dieu peut intervenir pour nous détourner du Mal qui nous attire, comme il peut aussi nous laisser expérimenter le Mal et ses conséquences négatives. L’expérience du mal est-elle entièrement négative ? Non, l’expérience vécue du mal peut nous en montrer l’horreur et nous ramener au Bien.
5°) Donc la liberté de la créature ne se manifeste pleinement qu’en présence du Bien et du Mal. Le choix ! Passage obligé de l’esprit humain dans un choix face à Dieu (Bien) et au Mal. On pourrait déduire que le Mal est une nécessité voulue, permise, par Dieu pour « valider » la liberté des êtres créés, afin que le choix soit possible.
6°) Dieu donne à ses créatures une « certaine liberté » jusqu’à leur permettre de Le refuser, de s’éloigner de Lui, de Le maudire. Mais Dieu reste présent toujours, collé aux basques des créatures comme le sparadrap du capitaine Haddock. Il est impossible de se séparer de Dieu même en le rejetant, car le Dieu Créateur, Bonté et Puissance infinies, joue au jeu de la liberté, la liberté confrontée à la raison divine. Dieu a créé la créature libre afin qu’elle Le retrouve, se tourne vers Lui et s’unisse à Lui. Les êtres créés sont alors semblables à des milliards de morceaux de miroirs où la lumière de la splendeur infinie peut se refléter de façon infinie. Nous devenons un miroir pour Dieu en nous tournant vers Lui comme les fleurs de tournesol regardent le soleil.
Voici une prière ancienne qui va dans le sens de cette déduction logique : « Seigneur Jésus, Face adorable, seul Amour qui ravit mon coeur, daigne imprimer en mon âme ta divine ressemblance afin que, lorsque Tu la regardes, Tu puisses Te contempler Toi-même ».
Tournesols - Wikipedia Creative Commons
7°) Conclusion : Comment Dieu pourrait-il condamner à l’Enfer (damnation éternelle) une seule de ses créatures dont la liberté est confrontée, jour et nuit jusqu’à la mort, à choisir entre le Bien et le Mal ? Le jeu du choix dépasse les capacités des créatures par le simple fait d’avoir été créées sans connaître les règles de ce jeu.
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La vie moderne ? Ils ont des invités. Monsieur, après avoir dressé la table, jolies assiettes, serviettes pliées, petits pains, verres en cristal pour l’eau, et le Cahors de 15 ans d’âge, pour le blanc sicilien, travaille seul dans la cuisine à préparer le souper, à mettre au four le rôti et les marrons qu’il garnira d’une sauce exquise, à déboucher les bouteilles de champagne et de vin. Il porte un long tablier. Tandis que Madame, recroquevillée dans le large canapé trois places, tend le bras vers les arrivants et dit d’une voix lasse : Mon mari s’occupe de la cuisine. Servez-vous, servez-vous, nous prendrons l’apéritif sans lui.
Certains collectionneurs à force d’entasser les objets, si grand soit leur logis, n’ont plus de place pour se mouvoir, pour ouvrir les fenêtres, pour dormir. Jusqu’au plancher de la chambre à coucher où s’amoncellent les revues d’art et de décoration, il n’y a plus d’espace sur les murs où s’accrochent tableaux, gravures, dessins, paysages et portraits, fusains, aquarelles sans compter, sur les commodes et les tables, des bustes de femmes, des visages d’enfants en plâtre, des fauves en bronze et d’autres terres cuites de lutteurs nus. Le salon est un magasin, tout est à vendre, on admire.
Même le petit coin est encombré d’affiches punaisées de couleurs les plus vives.
Ils m’envoient une carte de vœux qui est la photographie de leurs sept enfants dont l’âge va de 22 ans à quelques mois. Quels jolis visages souriants ! Je remercie le Ciel qu’ils occupent cette maison que j’ai tant aimée. Sur la carte, ils n’ont pas craint d’inscrire (imprimée) la phrase de Thérèse de Lisieux : « Grace à l’Amour, rendons extraordinaires les choses ordinaires ». J’admire leur force.
Z restera une canaille toute sa vie, malgré les condamnations, la prison, et d’autres exils ou punitions. Son premier crime fut d’avoir volé des oeuvres charitables dont il était le président. Ensuite long casier judiciaire.
A peine rentré dans le bercail familial, il prépare d’autres vols, invente d’autres mensonges, manipule sa famille dont les membres les plus naïfs, prêts à pardonner, qui l’ont visité prisonnier, qui l’ont nourri quand il était sans le sou, seront les victimes.
Z n’hésite pas à faire pression, à intimider par la crainte du scandale, de chantages ou du fisc, et extorque l’argent qu’il dépensera dans la débauche, le jeu, en compagnie d’autres canailles. Dans le délai le plus rapide.
Je ne suis vraiment bien que seul … avec Lola.
Lola, lévrier Whippet (5ans et demi)
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